qui n’a que vingt-deux ans subit au bagne de Brest, une peine de
huit ans de fers, prononcée contre lui par le tribunal criminel de Douai, pour compli cité d’un faux, dont il est absolument innocent ».
Il a pour compagnon de cellule un type curieux et redoutable bien connu des Parisiens (originaire de la place Maubeuge) et qui répond au nom de Colo, «c’était un querelleur fini, et il connaissait tous les trucs employés par les bandits qui cherchent à se tuer».
D’abord engagé comme limier à Lyon, Vidocq commence une carrière mouvementée dans la police.
Après de longues années passées dans les
principales geôles, et après avoir vécu au
milieu des bandits et des criminels, il connaît à fond la haute et la basse pègre.
Il devient l’incomparable policier que l’on
voit aux prises avec les pires brigands, de
toutes les classes sociales, ce qui le conduira
à occuper le poste de Chef de la Sûreté de
Paris jusqu’en 1827.
Ses méthodes particulières souvent à la li-
mite du droit lui permettent alors d’obte-
nir de belles réussites dans la lutte contre
la pègre. L’organisation de la police de
l’époque a été fortement influencée par la
méthode Vidocq.
Il a mérité sans aucun doute le titre de
« roi » des policiers.
Née de la rue et des bas-fonds de Paris, la
Savate est devenue grâce à Vidocq et à ses
nombreux auxiliaires (anciens compagnons
de bagne repentis) une discipline majeure
dans la formation au combat de l’ensem-
ble des policiers de la capitale.'
Après de longues années passées dans les
principales geôles, et après avoir vécu au
milieu des bandits et des criminels, il connaît à fond la haute et la basse pègre.
Il devient l’incomparable policier que l’on
voit aux prises avec les pires brigands, de
toutes les classes sociales, ce qui le conduira
à occuper le poste de Chef de la Sûreté de
Paris jusqu’en 1827.
Ses méthodes particulières souvent à la li-
mite du droit lui permettent alors d’obte-
nir de belles réussites dans la lutte contre
la pègre. L’organisation de la police de
l’époque a été fortement influencée par la
méthode Vidocq.
Il a mérité sans aucun doute le titre de
« roi » des policiers.
Née de la rue et des bas-fonds de Paris, la
Savate est devenue grâce à Vidocq et à ses
nombreux auxiliaires (anciens compagnons
de bagne repentis) une discipline majeure
dans la formation au combat de l’ensem-
ble des policiers de la capitale.'
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